Arielle, la petite sirène.

Retour sur mon concert d'hier soir dans cette petite salle magique de l'est parisien qu'est la maroquinerie. Très rarement déçu par mes moments passé du côté de la rue Boyer.

Là j'étais à voir Babet , connue pour être la violonniste du groupe Dionysos, elle vient de sortir il y a un peu plus d'un mois son second album solo. En ce qui me concerne, je n'avais pas du tout accroché avec le premier qui aprés  quelques écoutent  - pourtant très attentive -  traîne désormais dans ma discotheque. Par contre, ce "piano monstre" m'a enthousiasmé, un petit bijou, plein d'amoureux, de voyages, de monstres et de fées. Il correspondant beaucoup plus à mon univers personnel, et semble-t-il beaucoup plus proche de ce qu'elle à pu faire précédemment avec Dionysos. Avec le premier album, elle semblait qu'elle voulait s'affranchir du groupe et exister comme une grande.
Et hier soir dès qu'elle a pointé sa petite frimousse sur scène, avec sa petite robe grise, sa ceinture à petits noeud rouge, ses petites ballerines rouge, sa chevelure rousse coiffée en queue de cheval, je me suis senti émerveillé et pris d'une envie de danser et de sauter partout. Franchement, elle dégage une telle énergie et tellement d'envie qu'on ne peut être que comblé de la voir jouer. Et pour rendre l'instant partagé encore plus unique, avec l'aide de ses quatres musiciens, elle fait totalement évolué les morceaux que l'on a pu entendre sur le disque.
Et qui ne serait pas conquit en voyant arrivé tour a tour à ces cotés, Hugh Coltman, Mathias Malzieu et Andy Maistre.
Que du bonheur, et je ne serais même pas dire combien de temps ça a durée tellement j'étais emporté.